Week-end à Rome
Afin de coincer la bulle dans ta bulle
D’poser mon coeur bancal dans ton bocal, ton aquarium

Une escapade à deux, la pluie m’assomme
L’gris m’empoisonne, week-end à Rome
Pour la douceur de vivre, et pour le fun
Puisqu’on est jeunes, week-end rital
Retrouver le sourire, j’préfère te dire
J’ai failli perdre mon sang froid
Humm, j’ai failli perdre mon sang froid

Oh j’voudrais, j’voudrais
J’voudrais coincer la bulle dans ta bulle
Poser mon coeur bancal dans ton bocal, ton aquarium

Humm, chanson ritale pour une escale

Oh, j’voudrais tant
J’voudrais tant coincer la bulle dans ta bulle
Et traîner avec toi qui ne ressemble à personne

Ses dernières lettres parlent de soleil
De journées lumière, de plaisir au réveil
De poissons dorés, de bateaux, de merveilles

Mais ici, le ciel gris le désole
Mais ici, sa couleur l’isole

Lolly, attends-moi, je reviendrai bientôt
J’me débrouillerai par avion par bateau
Lolly, attends-moi je reviendrai bientôt
J’me débrouillerai par avion par bateau
Signé Kiko

En partant tu m’as mis le cœur à l’envers
Sans toi la vie est devenue un enfer
Entortillé dans mes draps je crois me souvenir de toi
Lorsque tu disais tout bas que tu n’aimais que moi

Tout ce qui se passe au dehors m’indiffère
Que le monde saute ce n’est pas mon affaire
Dans ces draps bleus traîne encore l’odeur de tes cheveux
Ce bleu infiniment bleu que j’trouvais dans tes yeux

Lorsque je rêve tu es tout près de moi
C’est la seule façon de rester avec toi
C’est la raison pour laquelle je n’veux plus quitter mon lit
Pour qu’enfin toutes les nuits durent toute la vie.

Les rues sont pleines de promesses
Mobiles et ombres chinoises
L’air frais claque, se tend
Balaye tes cheveux
J’ai les doigts sur tes tempes, tu fermes les yeux

J’aimerais te parler de ballades sur le port
Et de trésors cachés dans les rochers le soir
J’aimerais simplement te changer les idées
J’aimerais simplement chasser tes idées sombres

La lune est pleine de promesses
Exauce les voeux les plus fous
Oublie visages vides et avides
Laisse ces soucis où hélas tu te prélasses tant

Je voudrais te parler de croisières sans fin
De signes et de mots sur le sable gravés
Je voudrais simplement te changer les idées
Je voudrais simplement chasser tes idées sombres

Je voudrais te parler de ballades sur le port
Et de trésors cachés dans les rochers le soir
Je voudrais simplement te changer les idées
Pour que tu puisses enfin chasser mes idées noires

Other side of the word

Walking, walking, walking
Looking for your smile, walking
Ellen, Laura, Poppy
Laura, Poppy Gene TIERNEY

And the screen filled with cold blue eyes
Where you take everything that’s yours

Ellen, Laura, Poppy
Laura, Poppy Gene TIERNEY

And the screen filled with cold red lips
Where you take everything that’s yours

From icy deserts to frozen palaces
From toxic loves in the Shanghaï hell
Never do I tire of your travel

And then you close your lovely blue eyes
I think of other places and skies
And then you close your lovely blue eyes

And your cold blue eyes
On the screen, there’re your cold blue eyes, cold blue eyes

Ellen, Laura, Poppy, Laura Poppy Gene TIERNEY

And the screen filled with cold blue eyes
And the screen with cold red lips

From icy deserts to frozen palaces
From toxic loves in the Shanghaï hell
Never do I tire of your travel

And then you close your lovely blue eyes
I’m in love, I’m in love with Gene TIERNEY’s eyes.

La nuit brille de tous ses feux
Night club, paradis pour tous ceux
Qui cherchent Dieu sait qui Dieu sait quoi

De frissons faciles en propos futiles
De dragues habiles en automobile

Ce soir, je n’ai d’yeux que pour toi
Qui cherche Dieu sait qui Dieu sait quoi

Je vais encore sortir ce soir
Je le regretterai peut-être
Je vais encore sortir ce soir
Je le regretterai sans doute

De cocktails subtils en filles dociles
De discours faciles en regards mobiles

Enfin quelques verres nous rapprochent
Enfin je crois qu’c’est dans la poche
Je cherche Dieu sait qui Dieu sait quoi

Je vais encore sortir ce soir

L’air sera tiède et léger
Comme tu aimes

Et si tu ne le comprends pas
Très vite tu me reconnaîtras
Car moi je deviendrai méchant
J’épouserai une tourmente
Pour te faire mal et te faire froid

L’air sera désespéré comme ma peine

Et si pourtant tu nous oublies
Il me faudra laisser la pluie
Le soleil et les éléments
Et je te quitterai vraiment
Et je me quitterai aussi

L’air ne sera que du vent
Comme l’oubli

A quoi servent les mots, m’embarrassent plutôt
J’préfère tes gestes

Night club, slow cha cha, tu chavires, j’suis pas de bois
Night club, slow cha cha, tu chavires, j’suis pas de bois

Les lumières font le fête et sont pas les seules, j’me laisse aller
J’me laisse aller, lentement, j’me laisse aller

Laisse tomber, les jaloux, montrons-nous
Puisqu’on est bien, le monde peut nous mater, peu importe
Laisse tomber les jaloux, montrons-nous
Puisqu’on est bien, reste là, encore une danse, encore une danse

Dans ce quartier louche, mal famé
Où se cachent des loups affamés
Une fille blanche et grasse
A l’ombre d’une impasse,
Brave pour quelques passes
Le danger qui rôde et qui la glace

Humm, Jack, tu n’es pas gentil

Pas de chance Jack la repère
Et l’empoigne d’une main de fer
Elle cède sous la force
De ses assauts féroces
Implorant la clémence
Tandis qu’il la rosse avec démence

Sorti tout droit de l’enfer, ce monstre légendaire
Fera la une des colonnes, une fois de plus
l’éventreur déconne

Humm, Jack, tu n’es pas gentil

Dans le vestibule où nos regards se croisent
Vais-je enfin oser l’amener sur la plage, bonjour

C’est l’heure des folies permises, enfin
L’heure où je ne comprends plus rien

La fête s’achève, plus une cigarette
Mais toi, tu as compris, tu me suis sans rien dire, bonjour

C’est l’heure des délires permis, enfin
L’heure où je ne comprends plus rien
Tant d’alcool, ma tête est lourde
Un peu d’air frais me ferait du bien
La fête s’achève et les derniers se pressent
Y’a plus rien à boire, mais tes lèvres suffisent, bonjour!

Jerk, jerk, jerk
Flashback, été 66 tout le monde jerke
Way back, Londres 66 tout le monde jerke dans le Swigin’ London.

Fête pour le vice des cocktails délice, fun society dont j’fais partie
New look, new style et celebrities, fun society dont j’fais partie
Garden party Londres 66, jet society dont j’fais partie.

Jerk, jerk, jerk
Flashback, été 66 tout le monde jerke
C’est bath, Londres 66 tout le monde jerke dans le Swigin’ London.

Jerk, jerk, jerk
Flashback, été 66 tout le monde jerke
C’est Fab, Londres 66 tout le monde jerke dans le Swigin’ London Uh ! Stop

Hip, hip…

I wish I could be me
You wish you could be you
I wish I could be my twin brother
You wish you could fuck your parents

Take a chance, it’s just a dance
Have a drink, everything’s pink up here

I wish I could be someone else
You wish you could be a boy for a day
I wish I could release my anxiety
You wish you could understand my tensions

I wish I could listen to jazz
You wish you could read all Burroughs
I wish I could meet my heroes
You wish you could write sad songs

Take a chance, it’s just a dance
Have a drink, everything’s pink up here

I wish I could stop taking drugs
You wish you could have sex with me
I wish you could be me
You wish you could suck my dangerous dreams

I wish I could dance all night
You wish you could accept your destiny
I wish you could live without me
You wish you could lick my heart and soul

Take a chance, it’s just a dance
Have a drink, everything’s pink up here

I wish I could listen to Coltrane all day
You wish I could share your boring dreams
I wish I could be no one
You wish I could be your boyfriend

I wish I could leave this awful mess
You wish I could swallow your fucking fears
I wish I could leave Paris
You wish I could be stuck with you forever here

DIVERS CONCERTS EN 1983
Lieu : Différents club de Rennes et de Bretagne, Le Stanley entre autre.
Setlist :
– Tous les titres de l’album « Mythomane »
– A quoi tu ressembles
– Le grand sommeil
– Swinging London
Musiciens :
– Batterie : Eric Morinière
– Basse : Thierry Alexandre
– Guitare : Franck Darcel
– Clavier : Arnold Turboust
– Sax : Philippe Herpin

JUILLET 1984 – LA DANCETERIA A NEW YORK le 14 juillet
A l’occasion d’une fête consacrée à la France, Etienne chante sur la bande orchestre du « Grand sommeil »
et à WASHINGTON HEIGHTS toujours à NEW YORK

TOURNEE COMATEENS DECEMBRE 1984
Lieu :
– Rennes, L’Espace (6 décembre 1984), Presse : Rock & Folk
– Rouen, L’Exo 7 (décembre 1984)
Setlist :
– Get off my case
– Cold eyes
– Deal with it

TEE SHIRT PROMO – LA NOTTE, LA NOTTE – 1984.
Pour la sortie de l’album, Virgin crée un tee shirt promotionnel.

Poster pour L’ALBUM LA NOTTE, LA NOTTE , 42cm X 62cm

BILLET – CONCERT A RENNES AVEC LES COMATEENS – 6 DECEMBRE 1984.
Le billet de concert

Poster pour L’ALBUM MADE IN FRANCE , 38cm X 58cm

PARTICIPATION : PAROLES de CACHE-CACHE DANS L’ESPACE – 1984
Etienne compose les paroles de « Cache-cache dans l’espace » , la Face B du 45T de Lio/Jackie « Tétéoù ? » (ACO Music CBS produit par Alain Chamfort). La musique sera composée par Arnold Turboust.

RECOMPENSE : QUARTZ DE LA CHANSON FRANCAISE – 23 novembre 1984
Etienne reçoit le « Quartz de la chanson française » . Article de presse du 21 novembre.

PARTICIPATION : I’M STICKING WITH YOU – Télévision – Novembre 1984
Le 24 novembre 1984, Antenne 2 propose un « Enfants du rock » entièrement consacré à la chanteuse Lio. A la fin de l’émission Lio accompagnée au piano par Alain Chamfort et Etienne Daho reprennent en trio le titre du Velvet Underground « I’m sticking with you »

RECOMPENSE : DISQUE D’OR – 21 Octobre 1985 et DISQUE DE PLATINE en 1995
L’album est certifié disque d’or en octobre 1985, il le reçoit au cours de la fête d’anniversaire des 5 ans de Virgin au musée Grévin. L’album deviendra « Disque de Platine » en 1995

REPRISE : LE GRAND SOMMEIL – SWEETLIGHT – Mai 2006
Julien Barthe, alias Sweetlight, Dj producteur remixe Le Grand Sommeil. Il est proposé d’abord sur la plateforme Soundcloud, puis en Vinyle Maxi 45T sur son label Turbo le 20 septembre 2006. Le titre paraitra au final sous 3 versions différentes, initialement « Sweetlight remix » (6’41) puis « Sweetlight remix unreleased radio edit » (3’32) et « Sweetlight remix – Plaisir de France » (4’42).
EMI en éditera également un mini cd promo 1 titre de la version initaile (6’37).
A écouter sur la plateforme Soundcloud ici.

REPRISE : LE GRAND SOMMEIL – FRANCOIS & THE ATLAS MOUNTAINS – Octobre 2013
Frànçois & The Atlas Moutains reprennent le titre d’Etienne « Le grand sommeil »
A découvrir sur youtube ici.

REVUE DE PRESSE – SORTIR CE SOIR
Best, mars 1984, Je suis persuadé qu’Etienne Daho va laisser sa marque sur les années quatre-vingts…
Rock, mars 1984, Etienne Daho : Sortir ce soir **
Rock & Folk, mars 1984, …goût, délicatesse et style personnel.
Var Matin, 4 mars 1984, C’est doux et beau
Numéro 1, avril 1984, Voix troublantes, arrangements soignés.

REVUE DE PRESSE – MADE IN FRANCE
Article en anglais, janvier 1984, Etienne Daho : hunting and accessible

REVUE DE PRESSE – LA NOTTE, LA NOTTE
Best, mai 1984, Daho est de la trempe des grands, Le genre d’oiseau au dessus de la mêlée, de ceux qui font une carrière et qui accompagnent une vie.
Rock & Folk, mai 1984, Ce disque est un compagnon discret qui gagne à être connu…
Rock, mai 1984, Ce disque donne du bonheur et du sentiment vrai
Moto1, 12 mai 1984, Le daho est différent, il a un style et il a du goût.
Le Courrier Picard, 16 mai 1984, Etienne Daho, chanteur d’amour
Le Monde, 19 mai 1984, Daho est un séducteur et le charme de son disque tourne vite à la magie, hors du temps, hors du monde.
La Voix du Nord, 22 mai 1984, Bougrement attachante…
Télérama, 23 mai 1984, 3 clés, Tous les garçons et les filles devraient en raffoler.
Le Quotidien de Paris, 26 mai 1984, Le disque parfait
Chanson, juin 1984, La séduction à l’état pur
Officiel Hommes, juin 1984, Le tout se distille sur un air « modern design » avec un rien de velouté. Et ça me plait !
Samouraï, juin 1984, Etienne Daho est en train de créer l’événement de ce printemps
Dernières Nouvelles d’Alsace, 21 juin 1984, …le nouvel album d’Etienne Daho est tout en nuances et en délicatesses.
L’Union Magazine, 27 juin 1984, Et contre toutes critiques, Daho, beau comme un dieu grec, brave l’Olympe…
20 ans, août 1984, « La Notte, la Notte » d’Etienne Daho est au générique de l’été
Antenne FM Magazine, septembre 1984, Voilà un album enthousiasmant!
L’Art Vivant, septembre 1984, Daho est le nouvel esthète du rock made in France
Var Matin, Republique Dimanche, 6 octobre 1984, Nonchalance, classe, léger détachement, élégance.
Le Quotidien, 22 décembre 1984, A acquérir de toute urgence. C’est beau et c’est en français.
Le Point, 31 décembre 1984, Lui, c’est la star de demain.
Presse inconnue, 1984, C’est séduisant et vrai. C’est seulement l’un des dix albums de l’année.
Presse inconnue, 1984, Un grand frisson

REVUE DE PRESSE – WEEK END A ROME
Discothèque, septembre 1984, Très belle chanson d’Etienne Daho…
Rock & Folk, septembre 1984, Suite d’un parcours sans faute…

REVUE DE PRESSE – CONCERTS
Rock & folk, décembre 1984, Les Comateens et Etienne en concert à l’Espace à Rennes le 6 décembre
Ouest France, 7 décembre 1984, Etienne Daho à l’espace…
REVUE DE PRESSE – LA NOTTE, LA NOTTE (ALBUM DELUXE REMASTERED)
Magic, avril 2014, La notte, la notte incarne l’une des pierres de touche des années 80

REVUE DE PRESSE – ARTICLE DE FOND
Migrennes, mai 1983, n°6, Interview
Coup de patte, 1983, « Coup de patte » .
Rock & folk, août 1983, Trois orfèvres
Le Soir Illustré (Belgique), 1984, Escapade avec Etienne Daho
Le Monde, 5 juillet 1984, Rennes, Paris, New-York, Etienne Daho, le chanteur cow-boy
Le Matin, 3 août 1984, Etienne Daho nouveau chanteur de charme
Le Quotidien de Paris, 11 août 1984, La révélation la plus précieuse du rock français.
Presse Belgique, 25 août 1984, Etienne Daho : la gloire ou le caniveau
Best, septembre 1984, Signé Daho
Numéro1, septembre 1984, Etienne Daho passions feutrées
Moustique (Belgique), novembre 1984, Etienne Daho au futur simple

REVUE DE PRESSE – POSTER
Best, novembre 1984, Format 57cm x 40cm Photo : Jean-Yves Legras

REVUE DE PRESSE – DIVERS
Numéro 1, janvier 1984, « Le maxi 45 tours Le grand sommeil nous a tous ravis. Il paraït être la meilleure chance pour rendre le rock plus accessible parceque plus populaire. »
Girls, juillet 1984.
Le Quotidien de Paris, 19 juillet 1984, Les nostalgies de Daho
Salut, août 1984, Etienne Daho
Chanson magazine, septembre 1984, Abécédaire: D – DAHO Etienne
Salut, septembre 1984, Etienne Daho : ma vie parisienne
Le Quotidien, 1 septembre 1984, Etienne Daho : la réussite spontanée
Le Quotidien, 21 novembre 1984, Lauréat des Quartz 1984
Rock your town (Belgique), décembre 1984, Des raisons de ne pas haïr Etienne Daho
France Soir, 29 janvier 1985, Ma première télé fut un cauchemar

TVgraphie réalisée avec Benoit Cachin